Les producteurs, importateurs et distributeurs de produits non alimentaires neufs devront bientôt réemployer, réutiliser ou recycler leurs invendus notamment en donnant les produits de première nécessité à des associations de lutte contre la précarité ou à des structures de l’économie sociale et solidaire agréées « entreprise solidaire d’utilité sociale ».

Publié le 2020-03-30 12:00:00

Les producteurs, importateurs et distributeurs de produits non alimentaires neufs devront bientôt réemployer, réutiliser ou recycler leurs invendus notamment en donnant les produits de première nécessité à des associations de lutte contre la précarité ou à des structures de l’économie sociale et solidaire agréées « entreprise solidaire d’utilité sociale ».

Article écrit par Sandrine Thomas et publié le 2020-03-30 12:00:00 – © Les Echos Publishing – 2020